embroidery cloth bag

Sac de brodeuse en tissu Patron couture gratuit

Cloth embroidery sewing bag Pattern Free
A sewing pattern: the embroidery fabric bag

This small embroidery bag, done quickly, can store all our sewing equipment and embroidery. Practice, it can easily carry our necessary. To us the freedom to sew and embroider around any circumstance!

Supplies
Equipment

Small sewing equipment
Pair of scissors
Sewing machine

Consumables

Fabric for the bag, the inner bag and the handles
Fabric for lining
duffel
Embroidery (Optional)
Lace or ribbon (optional)

Comment faire ?

How to do ?

Production of handles and interior pocket

Sew the handles inserting the fleece and topstitch them.

    In the inside pocket, poke the smallest piece place against place.

  Turn the bag.

Sew the pocket on the location of the liner leaving an opening to be able to drag objects.

Manufacture of embroidery bag

    Sew, if you like, an embroidery on the outside fabric.

    Place the fabric over the batting, place against place and sew it all.

    Prick the bottom corners of the bag.

Assembly embroidery bag

    Cut the corners.

 

Return.

Do the same with the lining: sew right side against right and cut the bottom corners.

  Place the lining in the bag without turning.

Finishes of embroidery bag

    Insert the loops between the bag and the lining and then poke around to fix them together.

 Add a lace trim or ribbon to embellish and customize your bag.

Author: Valy

Site / blog: The blog of Valy

City: La Montagne

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Zara, Mango, Asos, Marks and Spencer … Syrian refugees exploited in workshops in Turkey

Adults but also children, some younger than ten years …

They would be paid “just over a pound per hour, well below the Turkish minimum wage.” An investigation by the BBC made public on Tuesday, reveals the deplorable conditions in which some Syrian refugees in Turkey would work in sewing workshops, on behalf of subcontractors of major brands of clothing.

Adults but also children, some younger than ten years. Zara, Mango, Asos or Marks and Spencer are among the signs referred. “I was told that child labor was rampant in Turkey. But I did not imagine at this point, “says Darragh MacIntyre, the journalist who conducted the survey.
Without protection against chemicals

The reporter referred in particular to refugees working up to twelve hours a day in workshops using chemicals but providing no protection. Scenes that were quick in reacting relevant signs.

Just like Asos, directly challenged by a scene filmed on the site of one of its subcontractors. But for the sign, it is an “unauthorized works”, adding that the official workshops were, themselves, regularly monitored, says Le Monde.

Asos and Marks and Spencer react

Asos and as Marks and Spencer have announced that they “regularize all Syrian workers and help to finance the schooling of children toiling in workshops,” reports the daily.

To recall, last February, the NGO Business and Human Rights Resource Centre accused the Turkish textile factories of several major brands include among their employees of Syrian children arrived as refugees.

 

For 20 Minutes with agency

Published on 10.26.2016

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Du « projection mapping » impressionnant pour habiller les vêtements

Une équipe japonaise travaille sur une méthode de réalité augmentée qui permet de projeter sur les vêtements des motifs et de les voir s’adapter parfaitement aux mouvements de la personne.

Comment montrer aux clients ce dont ils auraient l’air avec d’autres vêtements ? Alors qu’Amazon travaille sur un miroir magique qui modifie l’image reflétée, le laboratoire Ishikawa Watanabe de l’Université de Tokyo travaille sur un autre concept, probablement plus simple à mettre en œuvre mais au résultat tout aussi prometteur.

L’idée est d’utiliser des techniques de projection cartographiée, ou « projection mapping », pour projeter sur le vêtement (ou n’importe quel type d’objets déformable) une image adaptée à son relief. C’est ce type de techniques que l’on retrouve dans des scénographies de sons et lumières, lorsque des bâtiments sont habillés d’une nouvelle texture, ou dans le projet RoomAlive de Microsoft, basé sur le Kinect. Mais pour obtenir un grand niveau de réalisme, la difficulté est d’être très réactif aux modifications du relief.

Les chercheurs japonais ont donc mis au point un système qui quadrille la surface avec une grille infra-rouge, et qui détecte alors la moindre déformation à une vitesse de 1 000 images par seconde. L’image à projeter est immédiatement recalculée pour être déformée conformément à la grille scannée, ce qui permet de donner l’illusion que le vêtement incorpore l’image animée qui est perçue par l’œil humain. Il devient alors possible d’imaginer projeter d’autres motifs pour une même chemise, un pantalon ou une robe, et de laisser le consommateur voir véritablement ce qu’il commande avant d’acheter.

Le même type de déformation en temps réel de la projection avait été utilisée par une équipe de créatifs japonais dirigée par le producteur Nobumichi Asai, pour réaliser du « face hacking ».

Le 21/10/2016

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Lancement du label AOC “France Terre Textile”

Soixante entreprises françaises du textile ont lancé jeudi un label national d’origine contrôlée, “France Terre Textile”, censé selon eux mieux valoriser la filière amont du secteur que le “Made in France” et aider ses membres à collaborer ensemble.

Ce premier label transversal de filière sera particulièrement exigeant, en garantissant que plus de 75% des opérations de production soient réalisées en France, selon des critères sociaux, environnementaux et qualitatifs, selon un communiqué.
Il s’agit d’une transposition nationale de quatre labels départementaux ou régionaux “Terre textile”, dont le premier a été créé dans les Vosges en 2011, puis décliné en Alsace, dans le Nord et dans la région Auvergne-Rhône-Alpes.

“C’est un label essentiellement élaboré pour valoriser le travail en amont de la filière textile”, qui représente 75% des emplois du secteur en France, a déclaré à l’AFP Paul de Montclos, président de la fédération France Terre Textile et PDG de l’entreprise vosgienne de linge de maison haut de gamme Garnier-Thiebaut.
“Ce n’est pas un label de boy-scout”, a-t-il insisté. Des contrôles de la production dans les entreprises membres seront notamment réalisés tous les ans par des organismes indépendants.

L’étiquetage “Made in France” est un “outil imparfait” pour la filière textile selon ces entreprises car il ne valorise que la partie aval, la confection: les tissus et leurs traitements (teinture ou impression) d’un vêtement confectionné en France peuvent avoir été réalisés dans le monde entier. Le label France Terre Textile, qui sera apposé sur les produits finis et semi-finis, permettra à l’inverse de “garantir une traçabilité totale aux consommateurs et aux donneurs d’ordre”, facilitera la collaboration entre ses membres et sera aussi un outil de promotion au niveau national et à l’international, selon M. de Montclos.

Les 60 membres agréés du label représentent 5.000 emplois et un chiffre d’affaires de 600 millions d’euros, dont 47% à l’export.

Au total, la filière textile en France regroupe 550 entreprises, 57.000 emplois, pour un chiffre d’affaires de 13 milliards d’euros dont 65% à l’export.

  • Par lefigaro.fr avec AFP
  • Publié le 13/10/2016

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Aouro lance sa marque de vêtements sans couture

La première ligne de vêtements sans couture créée par la société iséroise Top Tex Cube, co fondée par l’ex-patron de Lafuma, se lance en proposant des éditions limitées.

Depuis mardi, les premiers vêtements sans coutre sont disponibles en édition limitées sur la plateforme de financement participatif Kickstarter. L’objectif est de récolter 30 000 euros de précommandes afin de pour lancer la fabrication. Mercredi, 87 contributeurs avaient dépensés la somme de 16 375 euros. Le concept se veut original :

“Ce projet symbolise le passage de l’industrie textile dans une nouvelle ère puisque ces 3 modèles ont “zéro” couture, ou plus exactement ont été confectionnés sans avoir recours à des machines à coudre traditionnelles. Mais, ils l’ont été par des nouvelles machines et de nouveaux processus. Ces modèles sont les premiers au monde à être ainsi réalisés, sans le moindre recours, même partiel, à une confection classique.  Ces vestes sont à l’industrie textile, ce que le smartphone est au téléphone filaire”, s’enthousiasme Philippe Joffard, président et co-fondateur de Top Tex Cube, une startup positionnée sur le segment des textiles techniques intelligents.

Ces deux modèles de veste et une cape sont proposés durant un mois sur Kickstarter. Dans la foulée, un site de vente en ligne verra le jour et la collection 2017 devrait compter plusieurs dizaines de modèles de vêtements et des accessoires.

Par Françoise Sigot  |  21/10/2016

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Un miroir pour essayer les vêtements sans efforts

Amazon a obtenu un brevet sur un miroir de « réalité mixte », qui permettrait aux clients d’essayer virtuellement les vêtements qu’ils commandent, avec un réalisme maximum.

Lorsque l’on gère un site de commerce électronique qui vend des vêtements, il est bien difficile d’assurer aux clients que la robe ou le pull qu’ils s’apprêtent à commander va leur aller comme un gant. C’est un problème pour convaincre les internautes d’acheter à distance plutôt que de se rendre en boutique physique. Mais c’est aussi et surtout un problème logistique et financier, lorsqu’il faut faire face aux nombreux retours des clients qui renvoient les articles qui ne leur vont pas ou ne plaisent pas lorsqu’ils l’essayent vraiment sur eux.

Amazon essaye donc de trouver des solutions pour répondre à ces deux problèmes, et a obtenu jeudi la publication d’un brevet déposé en 2015, qui décrit une sorte de miroir magique que des particuliers pourraient installer chez eux. Le principe dit de « réalité mixte » consiste à confondre la réalité et le virtuel dans une même réalité augmentée, pour que le client puisse se regarder dans la glace et voir avec le plus de réalisme possible comment lui va un pantalon, un t-shirt, une jupe ou un chemisier.

brevet-amazon-mirroir

L’objet fonctionne grâce à des caméras 3D qui traquent le corps de la personne et suivent son regard, pour reconstruire virtuellement ce que l’utilisateur voit avec son angle de vue. Une image est alors reconstituée en surimpression de celle du miroir, pour remplacer les zones qui doivent l’être. Des projecteurs illuminent au pixel près chaque zone modifiée de l’image, avec une puissance telle que l’image ainsi projetée est renvoyée vers l’œil de l’utilisateur avec plus de luminosité que le rayon lumineux renvoyé naturellement par le miroir. Le tout est censé faire illusion pour que l’utilisateur se voit projeté dans un autre décor ou avec d’autres habits que ceux qui l’entourent.

Le reste est affaire de modélisation. «  L’image du pull peut être ajustée pour s’adapter au corps de l’utilisateur en ajustant la taille du pull selon une analyse des images du corps de l’utilisateur acquises avec une ou plusieurs caméras », explique Amazon. « Une approximation visuelle peut être réalisée pour ajuster les propriétés du pull tel qu’affiché (… ). L’approximation visuelle peut être basée sur des images du pull acheté lorsqu’il a été été porté par une autre personne, où les images du pull sont ajustées selon le corps de l’utilisateur ».

Un client qui veut se voir en maillot de bain à la plage pourra aussi projeter derrière lui une image de la mer et du sable, et se mettre tout nu devant les caméras d’Amazon. Dans une maison domotisée, le miroir pourra commander l’éclairage pour ajuster la luminosité ambiante et rendre la scène toujours plus réaliste.

miroir-amazon

L’invention d’Amazon, pour peu qu’elle soit réelle et pas uniquement théorique, se rapproche énormément de ce que Cisco avait présenté dès 2010 dans une vidéo sur « l’avenir du shopping » :

Guillaume Champeau – 06 octobre 2016

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5 idées pour changer sa table de chevet

Oubliez les tables de nuit à l’ancienne ou les chevets hors de prix : pour quelques euros, on vous montre quelles alternatives trendy s’offrent à vous pour décorer les côtés de votre lit

Si vous privilégiez les enseignes abordables comme Søstrene Grene pour meubler et décorer votre intérieur, il existe d’autres alternatives pour accessoiriser votre nid douillet en dépensant peu – voire pas du tout. Comment ? Avec de la récup’ ou des objets dénichés en brocantes et vide-greniers. Sur Instagram ou Pinterest, les passionnés de déco sont nombreux à partager leurs bonnes idées et tutoriels pour construire soi-même ses meubles ou détourner d’autres objets. Ces pratiques sont notamment courantes avec les tables, sommiers et canapés d’extérieur pour leur facilité d’exécution. L’exemple des tables de chevet est flagrant et qui plus est très à la mode, comme en attestent les différentes idées recensées sur la plateforme de curation visuelle. En voici 5 qui retiendront définitivement votre attention.

Un chevet suspendu avec une simple planche de bois et des cordes

Vous avez besoin d’un chevet pas les moyens d’en acheter un en magasin de décoration ? En déambulant sur une brocante, un marché, une foire ou bien en vous rendant chez le fleuriste du coin, vous aurez toutes les chances de dénicher une caisse à pommes. Très prisées, elles sont parfois cédées en contrepartie d’un billet, mais ces planches de bois clouées ensemble ne vous coûteront jamais un bras. Posée à la verticale près du lit, elle s’avère très pratique et confère une atmosphère authentique. Toujours du côté des idées naturelles, une vieille planche de bois brut coupée aux bonnes dimensions pourra faire office de chevet stylé si vous pouvez vous permettre de la suspendre au plafond avec des cordes. Peut-être même aurez-vous envie de vous balancer dessus !

Si les objets déco en bois vous passionnent vraiment, sauvez une bûche qui s’apprêtait à finir en cendres dans votre cheminée pour l’exposer à côté de votre lit. Rien de plus facile si vous vivez près d’une forêt ou que vous en achetez régulièrement pour vous chauffer l’hiver. De passage dans une surface de bricolage ou près d’un chantier de construction de maison, embarquez quelques blocs de béton sous votre bras. Sur Pinterest, les parpaings on en effet le vent en poupe au rayon déco, pour apporter cette touche brute presque industrielle. Enfin, pour les passionnées de mode qui n’arrivent pas à se résoudre à jeter leurs magazines après lecture, empilez-les simplement. Un système D qui fonctionne très bien et que vous pouvez twister en changeant les couvertures. Ces idées auront-elles fait germer un nouveau projet déco dans votre tête ?

Déco maison - Un chevet avec une souche d'arbre ou bûche de boisDéco maison - Un chevet avec une baisse en boisDéco maison - Un chevet avec des livres et magazines

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Ecrit par Manon Roche
le 08/07/2016

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L’entreprise textile Clarenson reprise en Scop par ses salariés

L’équipe de l’entreprise./ Photo DR

C’est sous la forme d’une coopérative Scop que des salariés du tissage Clarenson à Castres viennent de reprendre leur usine. Une équipe soudée et dynamique entend bien pérenniser le tissu haut de gamme «Made in France».

Neuf des treize employés se sont lancés dans l’aventure et ont su convaincre le tribunal de leur laisser les clefs de la boutique. Les tissus sont élaborés dans l’usine castraise pour de belles marques situées à l’étranger pour l’essentiel dont certaines sont reconnues mondialement : Balmain (France), Armani (Italie), Alexander Wang (New York). 80% du chiffre d’affaires de la société Clarenson en effet est dédié à l’export.

Publié le 06/10/2016

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Le retour du chiffon textile, plus absorbant et moins cher

Depuis la reprise en 2016 de la société Delaunay Essuyage (Montreuil- sous-Bois), reconnue en Île-de- France pour son savoir-faire en matière de collecte et de transformation du linge de blanchisserie réformé, l’entreprise rémoise ETS Compas conforte sa position de leader sur le marché français de l’essuyage. ”Nous produisons jusqu’à 4 500 tonnes de chiffons par an”, se félicite Olivier Compas, P-DG.

LE CHIFFON, BON POUR L’ENVIRONNEMENT

ETS Compas est un chiffonnier nouvelle génération qui s’inscrit dans la filière recyclage. L’entreprise donne une seconde vie aux mises au rebut de TLC (textile-linge-chaussures), c’est-à-dire les 30 % déclassés, en les achetant à des collecteurs-trieurs, qu’il s’agisse d’associations ou de gestionnaires de bornes de collecte pour les particuliers.
Dans les ateliers, les dos de tee-shirt, les jambes de pantalons, les manches de chemises, les blouses ou encore les draps sont triés par couleur et type de textile, débarrassés des coutures et des cols, taillés en morceaux de tailles égales, puis emballés. La gamme est large : chiffons blancs et couleurs de friperie ou de blanchisserie, chiffons calibrés en format conditionnés en valisettes, etc. À chaque usage, sa qualité ! ”Notre valeur ajoutée repose sur la qualité du sourcing, la formation des salariés (au tri, à la coupe…) et la diversité de l’offre”, explique Olivier Compas.
Mais aussi sur l’image du chiffon textile recyclé, ”bon pour la planète”, que l’entreprise familiale diffuse via ses 400 revendeurs et directement auprès des industriels.

PUBLIÉ LE 30/09/2016

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